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12 décembre 2025 Une première balloune, des conséquences qui marquent une vie

Leclerc Communication débute cette semaine une campagne de sensibilisation percutante sur l’alcool au volant. Une initiative nécessaire, surtout quand on sait que plus de 80 % des personnes interceptées dans un barrage routier en sont à une première offense. Contrairement à ce que plusieurs croient, une « première balloune » n’est pas un simple avertissement : c’est un événement qui peut bouleverser durablement une vie.

Diffusée sur WKND 91,9, BLVD 102,1 et au 99,5 Montréal, cette campagne vise à rejoindre un large public et à rappeler concrètement les impacts réels de l’alcool au volant. À l’approche du temps des Fêtes, les occasions de prendre un coup s’accumulent, les services de raccompagnement roulent à plein régime et surtout les barrages routiers se multiplient. 

La campagne met d’abord en lumière les coûts financiers d’une première infraction. Amende minimale de 1 000 dollars, frais judiciaires, remorquage et fourrière, récupération du permis, évaluations obligatoires à la SAAQ, programme Alcofrein, installation et location d’un antidémarreur éthylométrique, sans oublier l’explosion des primes d’assurance pendant plusieurs années. Au total, une première balloune peut représenter une facture réaliste de 10 000 à 20 000 dollars sur deux ans.

Les conséquences légales sont tout aussi lourdes : suspension immédiate du permis pour 90 jours, saisie du véhicule, dossier criminel, restrictions de voyage et obligations à long terme pour pouvoir reconduire.

Enfin, la campagne aborde les impacts humains et professionnels. La honte, les explications constantes à la famille, aux collègues et aux enfants, la perte de liberté et de crédibilité. Pour plusieurs, cela peut aussi signifier la perte d’un emploi, de contrats ou de revenus, particulièrement lorsque le permis de conduire est essentiel au travail.

Par cette campagne, Leclerc Communication souhaite rappeler une chose simple mais essentielle : prévoir son retour, ce n’est pas un détail. C’est une décision qui peut tout changer.

Écoutez la publicité radio juste ici : 

par Admin
26 septembre 2025 BLVD 102,1 : Les 5 incontournables de la semaine du 22 septembre

Chaque semaine, BLVD 102,1 nous offre des moments uniques, drôles, touchants ou complètement inattendus. Voici les 5 extraits qui ont marqué notre antenne cette semaine. À écouter sans modération.

1. Napoléon Woo se retire et partage sa vision sur l’itinérance

Suite à l'annonce de sa candidature et de son retrait quelques jours plus tard, l'équipe de Marceau le matin a reçu Napoléon Woo qui nous explique pourquoi il s'est retiré et qui nous a exposé sa vision sur l'itinérance.

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2. Témoignage de Denis sur le diagnostic de TSA de son fils

Denis nous fait un beau témoignage sur le diagnostic de TSA de son fils dans le Pit Stop avec Yannick Marceau.

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3. Alexandra Doyon se sort de l’itinérance après 4 ans dans la rue

On en jase a reçu Alexandra Doyon qui s'est sortie de l'itinérance après 4 ans dans la rue suite aux sorties de l'ex-candidat Napoléon Woo sur sa vision de l'itinérance et des organismes communautaires.

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4. Passe-Partout version BLVD : vérité sur l’autisme et le Tylenol

Denis Gravel explique la vérité sur l'autisme et les Tylenol à la manière de l'émission pour enfant Passe-Partout.

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5. Gabriel Giguère réagit au retrait de l’interdiction des voitures à essence

Notre analyste politique Gabriel Giguère réagit au retrait de l'interdiction des voitures à essence pour 2035.

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Reste à l’écoute de BLVD 102,1 pour découvrir d’autres moments forts, drôles ou touchants. Chaque semaine, notre antenne vous réserve des surprises, des réflexions et des éclats de rire. On se retrouve vendredi prochain pour une nouvelle sélection des incontournables!

par Admin

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18 août 2022 PARENTS: ATTENTION AUX PLATEFORMES DE MESSAGERIE!!

L’actualité a ses bons et ses mauvais cotés. Elle est parfois frappante. Récemment, on apprenait qu’une fillette de 8 ans avait été exposée à des scènes violentes sur la plateforme de messagerie Omegle. Un site où n’importe qui peut se connecter, n’importe quand.  Dans l’idéal, les interlocuteurs auraient tous 18 ans. Malheureusement, c’est loin d’être la réalité. Des prédateurs se servent de l’anonymat pour approcher des jeunes aux intentions inoffensives. Ces déviants sexuels se multiplient sans cesse sur les réseaux sociaux. 

Pourquoi ne pas tenter l’expérience sociale? J’ai (Audrey) décidé dans les derniers jours d’entrer dans cet univers du chat. De tester les limites d’Omegle, entre autres.  C’est un monde particulier, rempli de surprises. De mauvaises surprises..

10 conversations. 

C’est ce que ça m’a pris pour constater que les inconduites sont plus fréquentes qu’on le pense.  Un chiffre minime, mais un chiffre significatif.  Sur 10 conversations incognito, seulement 2 se sont déroulées de façon «normale». Huit individus, dont une femme, m’ont proposé de l’envoi de nudité. En 30 minutes, j’en avais assez. Fascinant de constater à quel point c'est simple, quand-même.  Je me suis moi-même fait passer pour une autre…. «Elizabeth, 14 ans»!

Omegle n’est pas une exception sur le web. Des sites à suggestions sexuellement explicites, il y en a des tonnes. Même les plus «inoffensifs» sont à surveiller. SnapChat en est un bon exemple.  Une application gratuite, accessible au 13 ans et plus, permettant le partage instantané de photo, vidéos et conversations éphémères.  Environ 500 millions de personnes utilisent SnapChat mensuellement. Je me suis fait prendre, aux alentours de 15 ans, à utiliser cette application de la mauvaise façon. C’est facile d’être manipulé quand tu veux plaire, adolescent. Imaginez un jeune de 9-10-11-12-13 ans….

David, le père d’une fillette de 11 ans, m’a contactée pour me partager son histoire. Celle de sa fille, en fait. Pour les besoins de la cause, on va l’appeler «Béatrice».  À l’insu de ses parents, Béa a téléchargé Snap. Elle s’est mise à discuter avec des inconnus.  Des prédateurs qui l’ont entre autres poussée à faire des gestes, à envoyer des photos nues.  David a pris conscience de la situation à la suite d’un appel de l’école. Béatrice avait fait une tentative de suicide. Toute qu’une histoire.  

Vous pourrez entendre plus bas le podcast qui résume mon expérience ainsi que l’histoire de «Béatrice».  C’est frappant de réaliser à quel point ces situations sont fréquentes.

  

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Des conversations spéciales pour une fillette de 11 ans, je le rappelle.

J’ai eu la chance de m’entretenir avec Paul Laurier, ancien enquêteur informatique à la Sûreté du Québec. Sachez que des équipes spécialisées travaillent constamment à coincer ces malfaiteurs qui s’en prennent aux plus vulnérables. La plainte à la police est une étape cruciale pour permettre la création de dossiers.  M.Laurier m’expliquait que même sans crime commis, si vos enfants sont contactés par un prédateur, il est nécéssaire de faire appel aux autorités. Plus il y a d’informations, mieux c’est.

Bonne écoute!

par Audrey Painchaud